Rupture conventionnelle

Dans l’attente de la circulaire rectorat, vous trouverez ci-dessous la note ministérielle à ce sujet.

Les MA et les enseignants des établissements sous contrat simple, ne peuvent en bénéficier.

Pour les enseignants en contrat définitif, il faut s’adresser à madame la Rectrice sous couvert de sa direction.

Nous comprenons le désir de quitter l’enseignement des collègues et nous efforcerons de les aider à quitter l’enseignement ainsi que nous aidions déjà les collègues via le dispositif de l’IDV (indemnité de départ volontaire)

Objet : Mise en œuvre de la rupture conventionnelle pour les maîtres exerçant dans les établissements d’enseignement privés sous contrat
Par note en date du 9 juillet 2020, ci-dessus référencée, des consignes ont été données pour la mise en œuvre de la rupture conventionnelle pour les personnels du public.

Ce dispositif de rupture conventionnelle est également applicable aux maîtres de l’enseignement privé sous contrat d’association bénéficiant d’un contrat définitif (maîtres contractuels) dans la mesure où ils sont soumis aux mêmes conditions de cessation de fonctions que les enseignants titulaires de l’enseignement public, en application des dispositions de l’article L.914-1 du code de l’éducation. Ce dispositif est applicable, comme pour les fonctionnaires, à titre expérimental.

En revanche, les maîtres agréés qui servent dans les établissements sous contrat simple demeurent en dehors de ce champ d’application de la rupture conventionnelle, dans la mesure où leur employeur n’est pas l’État, même s’il les rémunère, mais l’établissement, conformément aux dispositions de l’article L.442-12 du code de l’éducation.

Ce dispositif ne s’applique pas non plus aux maîtres délégués exerçant dans les établissements privés sous contrat simple pour la même raison que celle évoquée ci-dessus.

Les maîtres délégués exerçant dans les établissements privés sous contrat d’association ne peuvent pas non plus bénéficier de ce dispositif en l’état des dispositions réglementaires. En effet, la rupture conventionnelle est rendue applicable aux agents contractuels de l’État par le décret du 17 janvier 19861, toutefois les dispositions de l’article R.914-58 du code de l’éducation qui prévoient les conditions de cessation de fonctions des maitres délégués ne permettent pas une application directe de ces dispositions dans la mesure où elles ne comportent pas de référence explicite au décret du 17 janvier 19862 précité.

Vous vous appuierez, pour mettre en œuvre ce dispositif pour les maîtres titulaires d’un contrat définitif sur la note du 9 juillet 2020 citée en référence, en tenant compte des précisions suivantes : la compétence pour résilier le contrat définitif du maître appartient au recteur, conformément aux dispositions de l’article R. 914-113 du code de l’éducation.

Toutefois, afin de permettre au ministère de suivre la mise en œuvre de cette procédure, il vous est demandé d’adresser chaque trimestre, au bureau DAFD1, à l’adresse électronique suivante : secretariat.dafd1@education.gouv.fr le nombre de procédures de rupture conventionnelle ayant donné lieu au versement d’une indemnité spécifique de rupture conventionnelle.

Vous préciserez également, parmi ces procédures, le nombre et le montant de celles ayant donné lieu au versement d’une indemnité dépassant le plancher réglementaire ainsi que le motif de ce dépassement.

Les entretiens sont organisés par le recteur ou la personne qu’il désigne. Lors de l’entretien, le maître peut se faire assister par un conseiller désigné par une organisation syndicale détenant au moins un siège au comité consultatif ministériel des maîtres de l’enseignement privé, ou un siège à la commission consultative mixte (CCM) du ressort considéré (CCMA de l’académie dans le ressort de laquelle le maître exerce ses fonctions pour les maîtres du second degré, CCM départementale ou interdépartementale dans le ressort de laquelle le maitre exerce ses fonctions pour les maîtres du premier degré).

Pour le calcul de l’ancienneté, l’ensemble des services effectués dans les établissements sous contrat d’association, en qualité de maître délégué ou maître contractuel s’ajoutent, le cas échéant, aux services accomplis dans la fonction publique d’État, la fonction publique hospitalière et la fonction publique territoriale. En revanche, les services effectués sous statut de droit privé ne sont pas comptabilisés.

Vous voudrez bien me tenir informée dès difficultés particulières que pourrait soulever l’application de la présente note de service.

Manifester sa foi

dans les établissements privés sous contrat d’association avec l’Etat 

Que dit la loi ?

Dans un établissement scolaire qui affirme dans son caractère propre son appartenance à l’Eglise catholique, il paraît normal que des moments de pastorale ou de prière puissent avoir lieu si certaines règles sont respectées.

Est-ce qu’une prière ou un moment de pastoral peut se dérouler pendant le cours d’un enseignant ?

L’article L.442-5 du Code de l’éducation affirme : «  Dans les classes faisant l’objet du contrat, l’enseignement est dispensé selon les règles et programmes de l’enseignement public ». La manifestation de la foi étant formellement interdite dans le public, c’est donc la même règle qui s’applique à nous. Il ne faut pas oublier que les enseignants en qualité d’agents d’Etat doivent informer les jeunes sur les valeurs de la République : «  La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. » Extrait de l’article premier de la Constitution.

Est-ce qu’un élève en cours est obligé de suivre un moment de pastorale ?

L’article L.442-1 du Code de l’Education dit : « Dans les établissements privés qui ont passé un des contrats prévus aux articles L. 442-5 et L. 442-12, l’enseignement placé sous le régime du contrat est soumis au contrôle de l’Etat. L’établissement, tout en conservant son caractère propre, doit donner cet enseignement dans le respect total de la liberté de conscience. Tous les enfants sans distinction d’origine, d’opinion ou de croyances, y ont accès. » La réponse est donc non.

Est-ce qu’un enseignant (agent de l’Education nationale) est obligé de participer à des événements religieux ?

L’article L.442-5 du Code de l’éducation affirme : « Ces derniers, en leur qualité d’agent public, ne sont pas, au titre des fonctions pour lesquelles ils sont employés et rémunérés par l’Etat, liés par un contrat de travail à l’établissement au sein duquel l’enseignement leur est confié, dans le cadre de l’organisation arrêtée par le chef d’établissement, dans le respect du caractère propre de l’établissement et de la liberté de conscience des maîtres. »

Quand peut s’affirmer la foi dans notre ensemble scolaire ?

Le code de l’Education en son célèbre L.442-5 stipule : « Les établissements organisent librement toutes les activités extérieures au secteur sous contrat. 

Quant à l’article R442-36, il précise :

« L’organisation des services d’enseignement, dans les classes sous contrat d’association, fait l’objet d’un tableau de service soumis au recteur d’académie.L’instruction religieuse peut être dispensée soit aux heures non occupées par l’emploi du temps des classes, soit à la première ou à la dernière heure de l’emploi du temps de la matinée ou de l’après-midi.Les autres heures d’activités spirituelles et éducatives complémentaires ne peuvent être incluses dans le tableau de service ».

A la lecture du Code de l’Education qui reconnaît le caractère propre de nos établissements, il apparaît que les établissements peuvent organiser des événements religieux hors des cours et avec le consentement des personnes.

CCMA du 13 octobre

La commission consultative mixte académique, lieu d’expression des personnels via leurs représentants s’est bien déroulée ce jour.

Le point principal était l’accès à la hors classe des enseignants relevant des échelles de rémunération des Agrégés, Certifiés, PLP et P.EPS.

Nous avons questionné l’administration sur la taux de promotion de 15% seulement alors que le taux officiel, réglementaire, est de 17%.

Nous avons soulevé à nouveau le problème de la fatigue des collègues, notamment en cette fin de période avec l’exposition au virus.

Pour nous les réunions pédagogiques non-vitales n’ont pas lieu d’être.

Pour l’ECR des Agrégés, les candidatures retenues sont remontées au ministère. Il n’y a pas de commission officielle, nous ne pouvons pas vous informer des critères, ni suivre votre demande officielle.

Échelle de rémunération des professeurs certifiés

Répartition des avis par échelons

Certifiééchelon 9
Ech. 10
Ech . 11
AC41,6%31,2%15,3%
S8031,9%14457,4%1789,5%
TS13353,0%9738,6%15,3%
Exc3413,5%72,8%
0,0%

251
251
19

15 % des promouvables ont été admis à la hors-classe – 83 promus

  • 17 des 19 collègues du 11ème échelon (89%) ont été admis à la HC : le collègue avec l’avis « excellent » et 16 des 17 collègues avec un avis « très satisfaisant ».
  • 60 des 251 collègues du 10ème échelon (24%) ont été admis à la HC : 6 des 7 collègues avec l’avis « excellent » et 40 des 97 collègues avec un avis « très satisfaisant » et 14 des 144 collègues avec l’avis « satisfaisant ».
  • 7 des 251 collègues du 9ème échelon (6%) ont été admis à la HC : ils avaient tous un avis « excellent » 


On observe une forme de « courbe de Gauss » pour la répartition des avis tant à l’intérieur des échelons qu’entre les échelons.

Entre prise en compte de l’ancienneté pour l’accès à la Hors-classe et une forme de reconnaissance de la « valeur professionnelle » par les inspecteurs et directeurs,  une forme d’équilibre nous apparaît.

Dès lors, pour nous, la logique de l’accord « PPCR » est plutôt respectée : le déroulement de la carrière sur 2 grades (classe normale puis hors classe) est possible toutefois l’accès est bien trop limité encore.

Échelle de rémunération des professeurs de lycée professionnel

Répartition des avis par échelons

PLPEch . 9
Ech. 10
Ech. 11
AC

1
S2940,3%2661,9%2
TS3447,2%1638,1%
Exc912,5%


72
42

16% des promouvables ont été admis à la hors-classe – 19 promus

  • 2 des 3 collègues du 11ème échelon (66%) ont été admis à la HC : le collègue avec l’avis « à consolider » n’a pas vu sa candidature retenue comme cela est prévu réglementairement.
  • 15 des 42 collègues du 10ème échelon (35%) ont été admis à la HC : 10 des 16 collègues avec l’avis « très satisfaisant » et 5 des 26 collègues avec un avis « satisfaisant » ,
  • 2 des 72 collègues du 9ème échelon (2%) ont été admis à la HC : ils avaient tous deux un avis « excellent » 

On observe une forme de « courbe de Gauss » pour la répartition des avis tant à l’intérieur des échelons (avec un nombre significatif d’avis) qu’entre les échelons.

Entre prise en compte de l’ancienneté pour l’accès à la Hors-classe et une forme de reconnaissance de la « valeur professionnelle » par les inspecteurs et directeurs,  une forme d’équilibre nous apparait.

Dès lors, pour nous, la logique de l’accord « PPCR » est plutôt respectée : le déroulement de la carrière sur 2 grades (classe normale puis hors classe) est possible toutefois l’accès est bien trop limité encore.

Échelle de rémunération des professeurs d’EPS

Répartition des avis par échelon

EPSEch. 9
Ech 10
Ech. 11
AC12,9%
0,0%
S1234,3%2158,3%
TS1954,3%1541,7%
Exc38,6%
0,0%

35
36

15% des promouvables ont été admis à la hors-classe : 11 promotions

  • 11 des 36 collègues du 10ème échelon (100%) ont été admis à la HC : 6 des 15 collègues avec l’avis « très satisfaisant » et 5 des 21 collègues avec un avis « satisfaisant » ,

La logique de l’accord « PPCR » est plutôt respectée : le déroulement de la carrière sur 2 grades (classe normale puis hors classe) est possible toutefois l’accès est bien trop limité encore.

Avis du syndicat :

Nous attendons des explications sur le taux d’accès diminué à 15 % cette année.

Pour nous, l’accès à la hors-classe ne pouvant pas résulter des lois de la statistiques (Gauss et constante macabre), alors nous demandons :

  • la déconnexion entre les conclusions du RDV de carrière et l’avancement. (Le RDV de carrière doit-être un temps d’échanges, de construction , d’évolution des pratiques individuelles dans un collectif. Pour nous ce n’est pas encore le cas.)
  • la hausse du taux de promotion à la hors-classe afin de réellement reconnaitre le mérite de tous les collègues,

Sur le site interne du Rectorat les listes de promus

https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/avancement

https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/content/publication-des-promus-plp-la-classe-exceptionnelle

https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/content/publication-des-promus-peps-la-classe-exceptionnelle

Covid, apprentissage et ccma hors classe du 13 octobre

Nous reproduisons ci-dessous le courrier adressé à madame la Rectrice ce 9 octobre 2020

Madame la Rectrice,

A travers ce courrier, nous tenons à vous alerter sur la situation face au Covid 19, l’apprentissage forcé à Faverges et sur la possible promotion de directeurs du secondaire lors de la CCMA.

L’inquiétude est vive chez nos collègues qui sont confrontés à des jeunes pas toujours très responsables face à l’actuelle pandémie. Ainsi, des collègues qui enseignent face à des étudiants de BTS ou de classes préparatoires voudraient savoir quelles dispositions sanitaires faut-il appliquer. Est-il prévu de baisser la jauge d’accueil de 50% comme cela a été mis en place dans les universités ? Au retour dans l’établissement les élèves et étudiants ne devraient-ils pas produire l’attestation prévue par le ministère ?

En ce qui concerne la mixité scolaires et salariés face à vos agents, nous tenons à vous alerter sur le cas du lycée professionnel de Faverges. En effet, le directeur a imposé la présence de jeunes en apprentissage-donc des salariés-dans les classes sous contrat. A cet égard, qu’en est-il du respect de vos agents et des responsabilités qui incombent à chacun ? Est-ce que le statut d’apprenti est compatible avec les classes sous contrat (quelle source juridique) ? Ne faut-il pas l’accord de vos agents pour qu’ils enseignent à des personnes qui ne sont pas sous statut scolaire ?

A l’approche de la CCMA, nous nous interrogeons sur le possible avancement à la hors classe ou à la classe exceptionnelle de directeurs d’établissements privés. En effet, si nous considérons tout à fait logique que les collègues directeurs du premier degré bénéficient des mêmes dispositions que les autres enseignants puisqu’ils agissent en qualité d’agents de la fonction publique, il n’en va pas de même pour ceux du secondaire. Ces derniers ont fait le choix de bénéficier d’un statut de droit privé très rémunérateur et n’enseigneraient au mieux qu’une à deux heures par semaine. Est-il donc équitable qu’ils puissent profiter d’avancements de carrière au détriment de collègues qui sont face aux élèves toute la semaine ? Pour qu’ils puissent bénéficier d’avancements à la hors classe ou à la classe exceptionnelle, nous souhaitons vivement qu’ils soient uniquement des agents comme leurs collègues du premier degré.

Je vous remercie par avance pour les réponses que vous nous apporterez.
Veuillez agréer, Madame la Rectrice, l’expression de mes salutations distinguées.

Christophe Derycke Secrétaire académique du Snep-Unsa

Être pleinement rémunéré pour son travail d’enseignant, c’est possible quand le calendrier est respecté

Chaque année, le Rectorat publie à l’attention des directions d’établissement une circulaire et un calendrier précis.

L’enjeux est que tous les enseignants soient rémunérés de leurs heures dites « postes » mais aussi :

  • des HSA : calculer et mettre en paiement les heures supplémentaires années,
  • de bénéficier des allègements de service* : par exemple lorsqu’un enseignant exerce dans 3 communes différentes ou lorsqu’il n’y a pas de technicien de laboratoire
  • être rémunéré pour les missions particulières – IMP,
  • mettre en paiement les Indemnités de Sujétion (IS) pour celles et ceux qui exercent plus de 6h dans certaines matières,
  • être indemnisé du travail de professeur principal (ISOE part modulable),
  • être indemnisé de l’activité en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE)

Et in fine, après le 10 novembre (date limite) Editer les Etats de Service (VS-05) qui seront remis aux enseignants pour signature ; un exemplaire signé sera conservé dans l’établissement.

Pour un paiement des HSA, de l’indemnité de professeur principal et IMP sur la paie de novembre, les éléments doivent être saisi avant le 25 octobre.

Depuis le 30 septembre les services des enseignants en CGPE doit être décrit précisément par les directions au Rectorat.

* il est clairement rappelé que le Rectorat octroie aux établissements ces moyens horaires et qu’il revient au direction le soin de les distribuer. A défaut une saisine du médiateur du Rectorat, éventuellement ensuite du Tribunal administratif de Grenoble.

DEP CIR R20-08 Circulaire STS WEB 2020-2021 :
https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/content/dep-cir-r20-08-circulaire-sts-web-2020-2021

Remplacement de courte durée dans les établissements du second degré privés sous contrat

Dispositif pour rémunérer le collègue assurant un remplacement momentané d’un enseignant empêché (maladie, convocation, …) pour une durée inférieure à 15 jours.

Cette circulaire précise, comme chaque année :

  • le caractère limitatif de l’enveloppe d’HSE attribuées
  • Les HSE ne doivent pas servir à rémunérer un remplaçant pendant le délai de carence

En effet lorsqu’un enseignant est malade, le 1er jour, il se voit retirer un jour de « carence ». Ce jour là il ne peut-être remplacé sur fonds publics.

Parfois des remplaçants nommés sans autorisation, dès le premier jour (durant la carence), par des directeurs peu scrupuleux s’étonnent de ne pas être payé.

DEP CIR R20-09 Circulaire RCD 2020-2021 :
https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/content/dep-cir-r20-09-circulaire-rcd-2020-2021

Congés et autorisations d’absence

Le rectorat publie la circulaire annuelle relative aux différents congés et autorisations d’absence dont peut bénéficier l’enseignant.

  • Les congés de maladie (et le jour de carence)
  • Le congé de maternité et d’adoption
  • Le congé paternité et d’accueil de l’enfant
  • Le congé parental
  • Le congé pour accident de service ou accident de travail
  • Le congé de présence parentale
  • Le congé de solidarité familiale
  • Les autorisations d’absence de droit
  • Les autorisations d’absence facultatives

Les demandes d’autorisation d’absence prévisibles doivent être adressées à la DEP, à l’aide de l’annexe 2, par la voie hiérarchique et accompagnées des pièces justificatives dès que les dates sont connues, au moins 30 jours ouvrés et au minimum 48 heures avant la date souhaitée de l’absence.

Dans le cas d’une absence imprévisible, la régularisation auprès la DEP doit intervenir dans un délai de 48 heures et être accompagnée d’un justificatif. Les demandes doivent être envoyées par mél à ce.dep@ac-grenoble.fr

DEP CIR R20-07 Circulaire congés et autorisations d’absence R2020 :
https://pia.ac-grenoble.fr/intranet-cms/content/dep-cir-r20-07-circulaire-conges-et-autorisations-dabsence-r2020

Commission consultative mixte académique du 30 septembre

Le rectorat avait réuni ce jour la commission de consultation des représentants du personnel en vue d’étudier :

• Tableau d’avancement à la classe exceptionnelle des professeurs agrégés, certifiés, des PLP, des PEPS au titre de l’année 2020-2021

• Liste d’aptitude d’accès au corps des professeurs de chaires supérieures au titre de l’année 2020-2021

• Tableau d’avancement à l’échelon spécial du grade de classe exceptionnelle des professeurs certifiés, des PLP, des PEPS au titre de l’année 2020-2021 ;

• Tableau d’avancement à la hors classe des professeurs agrégés, certifiés, des PLP, des PEPS au titre de l’année 2020-2021

Les tableaux de la hors classe ne seront pas examinés ce jour car ils contiennent des erreurs, notamment dans la prise en compte de l’ancienneté pour le calcul des points attribués à chaque candidature. Cet examen est reporté au 13 octobre.

Le Snep Unsa fait une déclaration liminaire et nous attirons l’attention de la rectrice sur :
-le respect du protocole sanitaire et les difficultés induites par celui-ci : préservation de la voix des enseignants, prévention pour éviter les soins. Allègement des effectifs comme dans d’autres pays européens. Pas de réponse immédiate des représentants de la rectrice.


-la reclassification des maitres délégués MA2 en MA1: les représentants de madame la rectrice indiquent que ces demandes de reclassements sont relayées par les services de la DEP, qu’à leur connaissance, il reste très peu de collègues concernés et que ceux qui pourraient encore l’être sont les contrats définitifs qui doivent passer en MA1 à l’ancienneté. S’il restait des MA2 qui ne sont pas en contrat définitif, il faut le faire savoir à la DEP qui rectifiera cette erreur.


-les pressions exercées par les directions d’établissements pour que des collègues, particulièrement les non-titulaires, acceptent dans leurs cours des élèves « alternants » : pas de réponse immédiate des représentants de la rectrice.

Autres réponses :

*COVID 19 Les personnels particulièrement vulnérables sont en isolement, soit en télétravail (dans la limite de leur temps règlementaire) soit en ASA. Les personnels vulnérables peuvent bénéficier de mesures renforcées comme les masques chirurgicaux  de type 2 (s’ils se sont signalés), qui sont en principe déjà livrés aux établissements concernés. Nous attirons l’attention du rectorat sur le fait que c’est loin d’être le cas dans tous les établissements.

*Ruptures conventionnelles : le ministère travaille à l’applicabilité de ces dispositions pour les enseignants du privé. Le rectorat tient au courant les personnels concernés directement mais ils ne doivent pas s’attendre à une réponse cette année.

Vient en dernier point l’examen des tableaux de promotion à la classe exceptionnelle, le tableau d’avancement à l’échelon spécial et la liste d’aptitude à la chaire supérieure. Le rectorat rappelle  qu’il a bien souvent un contingent plus élevé de promotions possibles que de dossiers de candidature, d’où l’intérêt de postuler si vous êtes éligibles, même si bien évidemment cela ne garantit pas la promotion…




Circulaire titre de transport 2020-2021

Les enseignants, agents publics de l’Etat, peuvent se faire indemniser des frais de déplacement : prise en charge partielle des titres d’abonnement correspondant aux déplacements effectués entre sa résidence habituelle et son lieu de travail

La part à la charge par le Rectorat, employeur des enseignants agents publics, ne peut excéder 86, 16 €/mois

C’est à que le Rectorat peut vous indemniser pour :

✓ Les cartes et abonnement annuels, mensuels ou hebdomadaires, ou à renouvellement tacite, à nombre de voyages illimités souscrits auprès d’entreprises de transport
✓ Les abonnements à un service public de location de vélos.

La circulaire est ci-dessous et sur le PIA :

Le document à remplir est ci-dessous et sur le PIA :

Pour les usagers du TAG (Grenoble) voir ci-dessous et sur le PIA :

Demande d’autorisation de cumul d’activités

Par définition l’enseignant, agent public de l’État, est censé se dévouer à son travail et ne pas cumuler d’activités professionnelles en plus. Toutefois, ‘dans la vraie vie’ …

L’administration dans certaines conditions (temps incomplet, pour produire des « œuvres de l’esprit », pour pratiquer « des activités à caractère artistique », etc …) l’administration peut accepter une cumul :

  • expertise ou consultation,
  • Enseignement ou formation ;
  • Activité à caractère sportif ou culturel, y compris encadrement et animation dans les domaines sportif,
  • Activités agricoles
  • Activité de conjoint collaborateur
  • Activités agricoles dans une exploitation non constituée en société ou constituée sous forme de société civile ou commerciale ;
  • Activité de conjoint collaborateur dans une entreprise artisanale ou commerciale
  • Aide à domicile à un ascendant, un descendant, son conjoint, à son partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou son concubin, permettant au fonctionnaire de percevoir, le cas échéant, les allocations afférentes à cette aide ;
  • Travaux de peu d’importance réalisés chez les particuliers ;
  • Activité d’intérêt général auprès d’une personne publique ou privée à but non lucratif ;
  • Mission d’intérêt public de coopération internationale ou auprès d’un organisme d’intérêt général à caractère international ou d’un Etat étranger, pour une durée limitée ;
  • Dans le cadre d’une activité exercée sous le régime de l’auto-entreprise

La circulaire est téléchargeable ci-dessous et sur le PIA

Pour une demande de cumul le document est ci-dessous et sur le PIA :

Si vous êtes en temps incomplet le document est ci-dessous et sur le PIA

Pour créer un reprendre une entreprise dans le cadre d’un cumul, le document est ci-dessous et sur le PIA

Pour poursuivre votre activité bénévole ou professionnelle déjà engagée, le document est ci-dessous et sur le PIA